samedi, novembre 17, 2007

la vie m'a fait connaître hier un poète fort intéressant, Merci Sarah

SPIRIT OF SADNESS

She loved the Autumn, I the Spring,
Sad all the songs she loved to sing;
And in her face was strangely set
Some great inherited regret.

Some look in all things made her sigh,
Yea! sad to her the morning sky:
'So sad! so sad its beauty seems'--
I hear her say it still in dreams.

But when the day grew grey and old,
And rising stars shone strange and cold,
Then only in her face I saw
A mystic glee, a joyous awe.

Spirit of Sadness, in the spheres
Is there an end of mortal tears?
Or is there still in those great eyes
That look of lonely hills and skies?

Robert Louis Stevenson

3 commentaires:

Anonyme a dit...

Je suis heureuse que tu aimais le poème. Écoute, j'ai trouvé un traduction de Gibran:
"...Plus profound le travail de la peine dans votre être, plus de joie vous contiendrez...Certains d'entre vous disent, 'La joie dépasse la peine'; d'autres disent: 'Non, c'est la peine qui domine.' Et moi je vous dis, elles son indissociables. Elles arrivent ensemble et quand l'une s'assied à table en votre compagnie, rappelez-vous que l'autre est assoupie sur votre lit."
Voilà, la joie et la peine. Les deux sont nécessaire pour la vie. Je me demandait là-dessous aujourd'hui; pourquoi la plupart de gens préfèrent les jours, le soleil, le lumière. Pourquoi ça c'est le bon. Pourquoi le mal, le mauvais, ça vient avec le noir, avec la nuit, avec l'hiver même. Pourquoi on JUGE tout les choses avec un "bon" ou "pas bon". Ne pouvons-nous pas simplement régarde et observe, sans jugement? Est-ce possible? Que ferrait un animal? Que ferrait un dieu? Un buddha? Un Jésu? Que devrions-nous faire?

Juste des pensées...je suis dans un drôle d'humeur aujour'hui j'imagine. Belle soirée à toi, sarah

Anonyme a dit...

Stevenson! Merci de me remémorer ces textes sur cette éternelle déchirure entre le bien et le mal. Cette influence transparaît dans tes textes. Je vois que tu es une personne en éternel questionnement sur les Hommes, leurs comportements, leurs jugements. Certaines personnes marchent dans la vie avec des oeillères, sans jamais se poser de questions, sans jamais se remettre en question. Tu as la verve facile, ton style dark exprime bien cette insatiable quête du bonheur, de l'amour de soi et des autres. Lucide est le mot que j'ai exprimé pour te décrire. J'ai bien apprécié ce court voyage sur ton île déserte, habitée l'instant d'un moment par mon être lecteur.

Bonne continuité, Jessica

Zoom Boom a dit...

wow merci Jessica, chui content de savoir que mon île déserte offre un certain confort à d'autres personnes que moi, t'es toujours la bienvenue, l'île devrait s'agrandir avec le temps, mais rester aussi douillette, je l'espère

 
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